RSS-Feed abonnieren
DOI: 10.1055/s-0028-1100623
Diagnose und Behandlung instrumenteller Ösophagusverletzungen*
*Herrn Prof. K. Vossschulte zum 60. Geburtstag am 1. 6. 1967Publikationsverlauf
Publikationsdatum:
11. Dezember 2008 (online)

Zusammenfassung
An Hand von 20 instrumenteilen Ösophagusperforationen werden Häufigkeit, Sitz, Ursache und Grundleiden sowie Maßnahmen zur Verhütung iatrogener Verletzungen besprochen. Die klinische Diagnose stützt sich auf den Nachweis eines Luftemphysems. Das Ösophagogramm mit wasserlöslichem Kontrastmittel im seitlichen Strahlengang ist die wichtigste Untersuchung zur Lokalisation. Bei der Behandlung wird der operativen Freilegung und zweischichtigen Übernähung der Vorrang vor konservativen Maßnahmen gegeben. Eigene Erfahrungen und Berichte aus dem Schrifttum zeigen deutlich ein Ansteigen der Mortalität bei verzögerter Diagnose nach 24 Stunden. Außerdem wird über 3 Fälle berichtet, bei denen nach multipler Perforation und phlegmonöser Mediastinitis zweimal eine Totalexstirpation und einmal eine untere Resektion erfolgreich durchgeführt wurden.
Summary
Frequency, site, cause and basic symptoms as well as measures taken to prevent iatrogenic injuries are discussed on the basis of 20 instrumental perforations of the oesophagus. The clinical diagnosis depends on the demonstration of interstitial emphysema. The oesophagogram using water soluble contrast medium in a lateral roentgenographic view is the most important means of localisation. Operative exposure and double-layered suturing are preferable to conservative measures. This study as well as reports from the literature show a definite increase in mortality when the diagnosis is not made within the first 24 hours. In addition, 3 cases are reported in which total extirpation (2 cases) and a lower resection (1 case) were successfully carried out after multiple perforation and phlegmonous mediastinitis.
Résumé
Il s'agit d'une communication de 20 perforations d'oesophage dues à des instruments. Nous précisons à ce propos la fréquence, le siège, la cause et l'affection causale de même que les mesures à prendre pour éviter ces lésions iatrogènes. Le diagnostic clinique est basé sur la preuve d'un emphysème. L'oesophagogramme au moyen de produit de contraste hydrosoluble dans une position latérale par rapport aux rayons est l'examen le plus important pour la localisation. Il faut donner la priorité dans le traitement à la libération chirurgicale et à la suture en deux plans de la lésion avant de prodiguer des mesures conservatrices. Notre propre expérience, tout comme le dit la littérature, montre une nette augmentation de la mortalité si le diagnostic a été posé après 24 heures. En outre nous communiquons deux cas qui présentaient de multiples perforations et un cas qui présentait un phlegmon médiastinal. C'est avec succès que nous avons entrepris chez les deux premiers une extirpation totale et chez le troisième une résection basse.