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DOI: 10.1055/s-0028-1099219
Notfallkardiologie im ersten Lebensjahr
Publication History
Publication Date:
11 December 2008 (online)

Zusammenfassung
Ich möchte nochmals erwähnen, daß 8 ‰ aller lebendgeborenen Säuglinge an kongenitalen Herzvitien leiden, die eine Mortalität von 30% aufweisen. In der Altersgruppe zwischen der Geburt und dem 3. Monat steht heute das angeborene Herzleiden an erster Stelle der Todesursache in einem Kinderspital. Beste Erfassung der Säuglinge und sichere Diagnose durch den Kinderkardiologen haben gezeigt, daß rund 70% dieser Kinder durch medikamentöse oder chirurgische Behandlung geholfen werden kann. Jeder Säugling mit einem Herzfehler, der auch nur zu den geringsten Insuffizienzzeichen führt, muß daher als Notfall angesehen werden, bis das Gegenteil bewiesen ist.
Summary
It should be noted that 8 ‰ of all infants born alive have a congenital heart. Their mortality is 30%. In the age group between birth and the 3rd month, congenital cardiac malformations are the primary cause of death in a children's hospital. Today's methods of evaluation and diagnosis by cardiologists have shown that about 70 % of these children can be helped by medical or surgical treatment. Any infant with a cardiac malformation which leads even to the slightest sings of insufficiency must be treated an an emergency until the contrary has been proved.
Résumé
L'auteur souligne encore une fois que le 8‰ de tous les nourrissons nés viables souffrent de malformation congénitale du coeur avec une mortalité de 30%. Dans le groupe du nourrisson compris entre la naissance et le troisième mois, les malformations cardiaques congénitales constituent le facteur de mortalité le plus important d'une clinique pédiatrique. L'examen attentif des nourrissons et l'établissement d'un diagnostic précis par un pédiocardiologue montrent qu'il est possible d'aider à ces enfants dans le 70% des cas par un traitement conservateur ou chirurgical. Tout nourrisson avec une malformation cardiaque, même s'il ne présente que des signes insignifiants d'une insuffisance, doit être considéré comme un cas grave jusqu'à ce que l'on puisse prouver le contraire.