Zusammenfassung
Vierzehn Patienten, die wegen eines AV-Blockes mit einem elektrischen Schrittmacher
behandelt worden waren und in einem Zeitraum zwischen einem Tag und 4œ Monaten nach
dem operativen Eingriff verstarben, wurden pathologisch-anatomisch untersucht. Vier
Patienten waren mit einer transthorakal-myokardial und 10 mit einer trans venös-intrakardial
implantierten Elektrode elektrisch stimuliert worden. Alle Elektroden waren aus einer
Platin-Iridium-Legierung hergestellt. In keinem Falle trat der Tod infolge technischen
Versagens des Schrittmachers auf.
Die histologischen Untersuchungen nach intramyokardialer Elektrodenimplantation ergaben
Befunde, die, aufgrund der Korrelation zwischen dem quantitativen Ausmaß der frischen,
operativ gesetzten Läsion und den reparativen Veränderungen in diesem Bereich, als
Folge der mechanischen Traumatisierung und nicht als solche alleiniger oder zusätzlicher
elektro-physikalischer Schädigungen angesehen werden müssen.
Bei Patienten mit transvenös-intrakardialer Elektrode wurden teilweise Gefäßwand-
und intrakavitäre Thromben wechselnden Ausmaßes gefunden. Es ließen sich bei intramyokardialer
Lage der Elektrodenspitze Gewebsalterationen nachweisen, die denen der primär myokardial
implantierten Elektroden ähnlich, in ihrem Ausmaß aber deutlich geringer waren. Lag
die Elektrodenspitze intratrabekulär, so stellten die Veränderungen in ihrer Umgebung
nur eine Reaktion auf die infolge der Implantation aufgetretenen Thrombenbildungen
dar.
Die im einzelnen nachgewiesenen morphologischen Befunde zeigen eine Reihe der einen
oder anderen Implantationsform eigenen Komplikationsmöglichkeiten auf, die diskutiert
werden.
Eine mit zunehmender Stimulationsdauer sich entwickelnde Schwielenbildung wurde weder
bei der einen noch der anderen Form der Elektrodenimplantation festgestellt. Mit diesem
Befund in Überein-Stimmung steht unsere Erfahrung, daß bisher in keinem Fall trotz
einer Stimulationsdauer von bis zu 3œ Jahren eine Erhöhung der Reizstärke erforderlich
wurde.
Summary
Fourteen patients who had been treated with an electrical pacemaker because of AV-block
and had died within one day and 4œ months after the implantation were examined by
autopsy. 4 patients had been stimulated by an electrode implanted into the myocardium
transthoracically, on 10 patients a transvenous intracardial electrode was used. All
electrodes consisted of a platinum-iridium alloy. In no case death occured due to
technical failure of the pacemakers.
The post-mortal microscopic examinations on patients having intramyocardial electrodes
revealed findings which have to be considered as the result of mechanical traumatisation
alone but not of any electro-physical injury because of the correlation between the
extent of surgical lesions and regenerative changes.
On patients with transvenous-intracardial electrode thrombi of various extent were
found, partly on the vessel walls partly within the cardial cavity. With the point
of the electrode within the myocardium the tissue alterations were similar to those
of primary intramyokardially implanted electrodes, however not as extensive. Intratrabecular
electrodes caused reactive changes in the surroudings tissue due to local thrombi.
The morphological findings disclose some possibilities of complications characteristic
for one or the other method of implantation which are discussed.
With neither method of implantation was fibrosis found which developed due to increasing
duration of electrical stimulation. This is in accordance to our experience that in
no case an increase of the amplitude was aquired in spite of electrical stimulation
up to 3œ years.
Résumé
Quatorze malades traités pour un bloc atrio-ventriculaire avec un pace-maker électrique
sont morts un jour à quatre mois et demi après l'intervention. lis ont été tous soumis
à un examen anatomopathologique. Quatre malades ont été stimulés avec une électrode
implantée à travers le thorax dans le myocarde et dix avec une électrode implantée
à travers les veines dans le coeur. Toutes les électrodes étaient constituées d'un
alliage de platine et d'iridium. La mort ne fut jamais provoquée par une insuffisance
technique du pace-maker.
Les examens histologiques à la suite de l'implantation des électrodes dans le myocarde
montrérent des altérations qui résultent du traumatisme mécanique et ne peuvent done
être uniquement ou partiellement attribuées à des lésions physiques électriques. Si
l'on tient compte des relations existant entre l'extension quantitative de la lésion
fraiche dûe à l'intervantion et des réactions réparatrices de cette région.
Les malades avec une électrode implantée à travers les veines dans le coeur ont présenté
des thromboses plus ou moins étendues des parois vasculaires et des cavités. Les cas
où l'extrémité des électrodes est implantée dans le myocarde ont présenté des lésions
des tissus, qui présentaient de grandes analogies à celles produites par les électrodes
implantées primairement dans le myocarde, tout en étant nettement moins importantes.
Si l'extrémité de l'électrode se trouve dans les piliers, elle détermine des altérations
qui correspondent uniquement à la réaction provoquée par la formation des thromboses
produites par l'implantation.
Chacune des lésions morphologiques décrites en détails constitue avec l'ensemble des
autres une série des complications propres à chaqué typo d'implantation. Elles sont
ensuite étudiées.
La formation d'une cicatrice fibreuse produite par une application prolongée de la
stimulation n'a été observée dans aucun de ees types d'implantation. Ce fait est confirmé
par nos observations, il n'a pas été jusqu'a maintenant nécessaire dans aucun cas
d'augmenter la puissance de l'excitation même avec un stimulateur appliqué pendant
des durées atteignant jusqu'à trois ans et demi.